Plan I - La recevabilitĂ© de l'appel d'un jugement avant dire droit. A - La qualification juridique d'une dĂ©cision ordonnant une mesure d'instruction; B - La rĂ©alitĂ© du jugement avant dire droit Ă  travers le concept de motif grave et lĂ©gitime; II - La fonction du premier prĂ©sident de la cour d'appel. A - L'apprĂ©ciation du formalisme de l'article 272 du Nouveau Code de procĂ©dure civile Lesarrhes sont une somme d'argent versĂ©e par l'acheteur avant la livraison d'un bien ou d'une prestation de service. Elles constituent une avance sur le prix de vente et se dĂ©duisent du paiement effectuĂ© par l'acheteur au moment de la conclusion du contrat. L'article 1590 du Code civil prĂ©voit qu'en aucun cas le versement des arrhes n codede procĂ©dure civile; bulletin officiel n° 3771 du 15 joumada I 1405 (6 fĂ©vrier 1985); p. 72; 21- Dahir n° 1-80-348 du 11 rejeb 1402 (6 mai 1982) portant promulgation de la loi n° 24-80 modifiant l’alinĂ©a 1er de l’article 47 du code de procĂ©dure civile; bulletin officiel n° 3636 du 15 ramadan 1402 (7 juillet 1982); p. 350; 22- Dahir n° 1-78-952 du 20 joumada I 1399 (18 avril Lesparties qui choisissent de prĂ©venir un diffĂ©rend ou de rĂ©gler celui qui les oppose par un mode privĂ© et le tiers qui les assiste s’engagent Ă  prĂ©server la confidentialitĂ© de ce qui est dit, Ă©crit ou fait dans le cours du processus, sous rĂ©serve de leur entente sur le sujet ou des dispositions particuliĂšres de la loi. 2014, c. 1, a. 4. 5. prestationsEnfance Jeunesse et de Loisirs. Article 441-7 du code pĂ©nal : « Est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende le fait : 1° D’établir une attestation ou un certificat faisant Ă©tat de faits matĂ©riellement inexacts ; 2° De falsifier une attestation ou un certificat originairement sincĂšre ; Vay Nhanh Fast Money. De 1804 Ă  1960, ils ont Ă©tĂ© les seuls articles relatifs aux rĂšgles de compĂ©tence internationale française, or le mouvement observĂ© aujourd’hui est que les rĂšgles de compĂ©tences ordinaires ont pris le pas sur ces articles, du fait notamment de l’internationalisation des sources du Droit international PrivĂ© et pour les europĂ©ens de sa communautarisation. Les rĂšgles de procĂ©dures visent Ă  permettre aux parties de soumettre leur litige Ă  un tribunal compĂ©tent, ce droit Ă©tant par ailleurs reconnu au regard de l’article 6 §1 de la CESDH pour les ressortissants communautaires, ou par le droit interne des Ă©tats en vertu de leurs dispositions procĂ©durales en matiĂšre de rĂšgles de compĂ©tence internationale. Ainsi, prĂ©sents dans le Titre Ier Des droits civils », les articles 14 et 15 du Code Civil disposĂ©s dans le Code de 1804 Ă©dictaient deux rĂšgles de compĂ©tence internationale permettant Ă  un partie de nationalitĂ© française , qu’elle soit demanderesse ou dĂ©fenderesse de bĂ©nĂ©ficier d’un privilĂšge indirect de juridiction et de porter ainsi son litige devant le juge français. AxĂ© sur la nationalitĂ©, le revirement de jurisprudence intervenu dans les annĂ©es 60 nous conduit Ă  exclure les rĂšgles relatives Ă  la compĂ©tence des tribunaux français en raison du domicile des parties quelles soient françaises ou Ă©trangĂšres. De 1804 Ă  1960, ils ont Ă©tĂ© les seuls articles relatifs aux rĂšgles de compĂ©tence internationale française, or le mouvement observĂ© aujourd’hui est que les rĂšgles de compĂ©tences ordinaires ont pris le pas sur ces articles, du fait notamment de l’internationalisation des sources du Droit international PrivĂ© et pour les europĂ©ens de sa communautarisation. L’enjeu de ces derniers est alors tant de permettre la reconnaissance de la compĂ©tence d’une juridiction Ă©trangĂšre pour juger du litige opposant les parties dont l’une au moins est de nationalitĂ© française que de permettre l’exĂ©cution d’une dĂ©cision rendue par une juridiction Ă©trangĂšre Ă  l’encontre d’un ressortissant français, sans qu’il soit possible de contester systĂ©matiquement la compĂ©tence de la juridiction Ă©trangĂšre. Il s’agit dĂšs lors est de faire le point tant sur leur domaine respectif I, que sur leur rĂ©gime II I – Le domaine d’application des articles et du Code civil Certaines rĂšgles du Droit international privĂ© ont Ă©tĂ© fondĂ©es sur la nationalitĂ© des parties, les articles 14 et 15 du Code Civil offraient ainsi aux justiciables français quelque soit leur position dans le litige de bĂ©nĂ©ficier d’un privilĂšge de juridiction A, mais cette faveur a Ă©tĂ© aujourd’hui abandonnĂ©e par la jurisprudence B A – L’application d’un privilĂšge indirect de juridiction Il suffisait que la nationalitĂ© du bĂ©nĂ©ficiaire soit apprĂ©ciĂ©e au moment de l’introduction de l’instance pour que les juridictions françaises se dĂ©clarent compĂ©tentes Cass. du 21/03/1966, la jurisprudence les avaient par ailleurs dotĂ©s Ă  cet Ă©gard d’un champ d’application gĂ©nĂ©ral du 01/02/1955, moins quelques exceptions du 17/11/81, quant aux actions immobiliĂšres. Les articles 14 et 15 du Code Civil ne sont cependant pas d’Ordre public et ne peuvent ĂȘtre d’office soulevĂ©s par le juge du 26/05/99, Cependant, du fait du droit europĂ©en de la compĂ©tence internationale, ils ont tout Ă  la fois subi une extension, le rĂšglement Bruxelles I du 22/12/00 prĂ©voit en effet que pour les litiges qui ne relĂšvent pas de sa compĂ©tence, les rĂ©sidents et les nationaux peuvent bĂ©nĂ©ficier de ces dispositions et une restriction de leur application au titre du mĂȘme rĂšglement, car si le dĂ©fendeur Ă  l’action est Ă©tabli sur le territoire de l’UE, ils ne peuvent ĂȘtre invoquĂ©s. Ainsi, les articles 14 et 15 du Code Civil ont-ils reçus de l’évolution de la jurisprudence de nouveaux modes d’application. B – La nouvelle jurisprudence appliquĂ©e aux articles 14 et 15 du Code Civil Dans un arrĂȘt de la 1° Civ du 22/05/07, la Cour de cassation Ă©tait interrogĂ©e sur le fait de savoir comment appliquer l’article 14 du Code Civil, elle dĂ©cida alors que ce dernier pouvait ĂȘtre invoquĂ© si l’une des parties Ă©tait française ou si aucune juridiction Ă©trangĂšre n’avait Ă©tĂ© prĂ©alablement saisie et sauf renonciation expresse du justiciable, par ailleurs, si la partie entendait dĂ©velopper ce moyen Ă  l’occasion d’un risque dĂ©ni de justice, on remarquera que cette extension de la compĂ©tence du juge français dans un litige international ne pouvant pas ĂȘtre invoquĂ©e d’office par le juge, il revient Ă  la partie demanderesse de l’exprimer sous peine de renonciation tacite de ce moyen de dĂ©fense du 13/01/81. L’article 15 du Code Civil quant Ă  lui a fait l’objet selon les spĂ©cialistes d’une interprĂ©tation dĂ©formante aux fins de l’ériger en privilĂšge de juridiction indirecte. La jurisprudence autorisait ainsi un français de s’opposer Ă  la reconnaissance de toute dĂ©cision rendue contre lui Ă  l’étranger comme Ă©manant d’une juridiction incompĂ©tente, la Cour de cassation dans l’arrĂȘt Prieur, du 23/05/06 » a mis fin Ă  ce privilĂšge qui Ă©tait cependant largement privĂ© d’effet par le droit communautaire. En effet, le recul le plus sĂ©rieux est venu de la Convention de Bruxelles du 27/09/68 reprise par la Convention de Lugano du 16/09/88 qui a Ă©cartĂ© aussi bien les articles 14 et 15 du Code Civil en ce qui concerne les rĂšgles de compĂ©tence directe et supprimĂ©e en principe tout contrĂŽle quant Ă  la compĂ©tence du juge d’origine. Il en est de mĂȘme dans le rĂšglement Bruxelles II du 27/11/03 sur la compĂ©tence et l’exĂ©cution des dĂ©cisions en matiĂšre matrimoniale. Les articles 14 et 15 du Code Civil rĂ©pondent dĂ©sormais Ă  un nouveau rĂ©gime II – RĂ©gime des articles 14 et 15 du Code civil De 1804 Ă  1960, ils Ă©taient les seuls articles de compĂ©tence internationale française, le mouvement dĂ©sormais observĂ© est que les rĂšgles de compĂ©tence ordinaire ont pris le pas sur ces sont ainsi des rĂšgles de compĂ©tences subsidiaires A qui ne s’appliquent que si aucun autre critĂšre de compĂ©tence internationale ne dĂ©signe une juridiction Ă©trangĂšre B A – Une rĂšgle de compĂ©tence subsidiaire et facultative L’arrĂȘt de la 1° Civ du 19/11/85 avait posĂ© que l’article 14 du Code Civil n’avait qu’un caractĂšre subsidiaire et qu’il ouvrait aux nationaux qu’une simple facultĂ©, et depuis l’intĂ©gration Ă  l’UE, ce n’est que lorsque le rĂšglement communautaire ne dispose pas de la compĂ©tence d’une juridiction dĂ©signĂ©e par l’application de ses rĂšgles que les Ă©tats retrouvent le droit d’appliquer leurs rĂšgles internes de compĂ©tence internationale du 30/09/09 »Il est cependant toujours loisible aux parties de renoncer au bĂ©nĂ©fice de ces articles, sous rĂ©serve que le litige n’intĂ©resse pas l’Ordre public français auquel cas la renonciation resterait sans effet CA. Paris, 22/10/70 » B – DĂ©signation par une rĂšgle de compĂ©tence internationale Par principe, si un litige prĂ©sente un caractĂšre international, les tribunaux français ne peuvent pas les connaĂźtre, si aucune rĂšgle de compĂ©tence internationale ne leur donne cette ailleurs, outre les rĂšgles disposĂ©es par les TraitĂ©s et les rĂšglements de l’UE, il Ă©tait possible pour un mĂȘme litige d’ĂȘtre confrontĂ© Ă  la saisine de deux juridictions diffĂ©rentes, ce conflit de procĂ©dure est alors rĂ©glĂ© par la notion de litispendance internationale, dĂšs lors depuis l’arrĂȘt SociĂ©tĂ© Miniera di fragne du 26/11/74 », le juge français, mĂȘme si une des parties au litige est un national, Ă  partir du moment ou il est saisi en 2nd doit se dessaisir au profit du juge Ă©tranger sous rĂ©serve nĂ©anmoins que la dĂ©cision soit susceptible d’ĂȘtre reconnue en admettra ici, tout l’intĂ©rĂȘt de cette dĂ©cision au regard des consĂ©quences de l’article 15 du Code Civil quant aux conditions d’exĂ©cution des jugements rendus par une juridiction Ă©trangĂšre, qui dĂ©sormais ne fait plus objectivement obstacle au dessaisissement du juge français en cas de litispendance internationale. Pour les demandes introduites Ă  compter du 1er janvier 2020, la procĂ©dure en la forme des rĂ©fĂ©rĂ©s » sera renommĂ©e accĂ©lĂ©rĂ©e au fond » et remplacĂ©e, dans les cas oĂč elle ne se justifie pas, par une procĂ©dure en rĂ©fĂ©rĂ© ou sur requĂȘte. L’article 28 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, de programmation 2018-2022 et de rĂ©forme pour la justice, dite loi Justice », a autorisĂ© le gouvernement Ă  prendre par ordonnance, avant le 24 juillet 2019, les mesures nĂ©cessaires pour modifier les dispositions rĂ©gissant les procĂ©dures en la forme des rĂ©fĂ©rĂ©s devant les juridictions judiciaires aux fins de les unifier et d’harmoniser le traitement des procĂ©dures au fond Ă  bref dĂ©lai v. bull. 225, Vers l’unification des procĂ©dures en la forme des rĂ©fĂ©rĂ©s en matiĂšre judiciaire », p. 7. Compte tenu des trĂšs nombreuses difficultĂ©s procĂ©durales rencontrĂ©es par les praticiens du droit et la confusion gĂ©nĂ©rale gĂ©nĂ©rĂ©e par les dispositions des diffĂ©rents codes traitant de cette procĂ©dure, la rĂ©forme Ă©tait attendue de longue date. L’ordonnance du 17 juillet 2019 modifie 15 codes et 8 lois dont les nouvelles dispositions lĂ©gales s’appliqueront aux demandes introduites Ă  compter du 1er janvier 2020 Ord., art. 30. Gestion d'entreprise La gestion d’entreprise constitue l’essentiel de l’activitĂ© d’un dirigeant d’entreprise. Elle fait appel Ă  un grand nombre de notions empruntĂ©es de la comptabilitĂ© analyse du bilan, compte de rĂ©sultat, prĂ©visionnel, budgĂ©tisation..., de la finance la gestion des risques au moyen de la gestion des actifs et des assurances professionnelles, du droit des affaires choix du statut juridique, contrats commerciaux, fiscalitĂ© DĂ©couvrir tous les contenus liĂ©s Au regard de la nature des dispositions modifiĂ©es, la rĂ©forme s’articule en deux Ă©tapes l’ordonnance concerne uniquement les dispositions lĂ©gales. Un dĂ©cret, qui reste Ă  paraĂźtre, doit modifier les dispositions rĂ©glementaires des diffĂ©rents codes, plus ou moins calquĂ©es sur le dispositif de droit commun du code de procĂ©dure civile C. pr. civ., art. 492-1, créé par D. n° 2011-1043, 1er sept. 2011. Cas oĂč la procĂ©dure est renommĂ©e procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e au fond » Le caractĂšre hybride de la procĂ©dure en la forme des rĂ©fĂ©rĂ©s » qui suit actuellement le cours d’une procĂ©dure en rĂ©fĂ©rĂ© mais aboutit Ă  une ordonnance prise au principal a conduit logiquement le gouvernement Ă  clarifier cette procĂ©dure en la renommant. C’est la terminologie de procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e au fond » qui prĂ©vaut dĂ©sormais pour mettre en Ă©vidence le fait qu’il s’agit d’une dĂ©cision statuant au fond mais obtenue rapidement. La rĂ©fĂ©rence expresse au rĂ©fĂ©rĂ© », source de trop nombreuses erreurs et confusions, est donc supprimĂ©e. Pour autant, si la clarification est indispensable, l’ordonnance prĂ©serve la philosophie de l’ancienne procĂ©dure. Il est nĂ©cessaire de pouvoir disposer d’une voie procĂ©durale permettant d’obtenir un jugement au fond dans des dĂ©lais plus rapides. Ainsi, Ă  l’instar de la procĂ©dure Ă  jour fixe C. pr. civ., art. 788 et s., le demandeur Ă  la nouvelle procĂ©dure contentieuse au fond se verra indiquer une date d’audience Ă  bref dĂ©lai, sans avoir Ă  justifier d’une urgence particuliĂšre, contrairement Ă  la procĂ©dure Ă  jour fixe. Dans cette hypothĂšse, le juge, saisi par assignation, connaĂźt du fond de l’affaire et sa dĂ©cision, un jugement » et non plus une ordonnance, a autoritĂ© de la chose jugĂ©e. Ainsi, Ă  titre d’exemples, les dispositions du code civil sur le contrat de sociĂ©tĂ© permettant, en cas de contestation, de demander au prĂ©sident du tribunal de dĂ©signer un expert pour procĂ©der Ă  une Ă©valuation de droits sociaux, empruntera la voie de la procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e au fond. Le prĂ©sident ne rendra plus une ordonnance mais un jugement puisque le fond de la contestation est abordĂ© C. civ., art. 1843-4, al. 1er, mod. par Ord, art. 2, 3°. De mĂȘme, en est-il des dispositions du code de la construction et de l’habitation en matiĂšre de changements de destination des locaux Ă  usage d’habitation soumis Ă  autorisation prĂ©alable dans certaines communes. Le prononcĂ© de l’amende civile, ordonnĂ©e en cas de contravention, suivra le cours de la procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e au fond, le tribunal judiciaire statuant sur assignation CCH, art. L. 651-2, mod. par Ord., art. 4, 6°. Par ailleurs, en matiĂšre de recouvrement public de pension alimentaire, en cas de contestation soumise par le Procureur de la RĂ©publique au prĂ©sident du TGI, il sera statuĂ©, selon la procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e au fond, par jugement et non plus par ordonnance L. n° 75-618, 11 juill. 1975, art. 4, mod. par ord., art. 19. Cas oĂč la procĂ©dure est remplacĂ©e par une procĂ©dure en rĂ©fĂ©rĂ© ou sur requĂȘte Dans les cas oĂč le recours Ă  cette procĂ©dure particuliĂšre en la forme des rĂ©fĂ©rĂ©s » ne se justifie pas, l’ordonnance prĂ©voit de lui substituer une procĂ©dure de droit commun, en rĂ©fĂ©rĂ© ou sur requĂȘte, lorsque la dĂ©cision rendue peut ĂȘtre provisoire et que le cas requiert une certaine cĂ©lĂ©ritĂ©. A titre d’exemple, en cas d’occupation illĂ©gale par des gens du voyage d’un terrain privĂ© affectĂ© Ă  une activitĂ© Ă  caractĂšre Ă©conomique, et dĂšs lors que cette occupation est de nature Ă  entraver cette activitĂ©, le propriĂ©taire ou le titulaire d’un droit rĂ©el d’usage sur le terrain peut saisir le prĂ©sident du TGI qui statuera en rĂ©fĂ©rĂ© et non plus en la forme des rĂ©fĂ©rĂ©s. L’ordonnance supprime les trois derniĂšres phrase qui prĂ©cisent que Sa dĂ©cision est exĂ©cutoire Ă  titre provisoire. En cas de nĂ©cessitĂ©, il peut ordonner que l’exĂ©cution aura lieu au seul vu de la minute. Si le cas requiert cĂ©lĂ©ritĂ©, il fait application des dispositions du second alinĂ©a de l’article 485 du code de procĂ©dure civile » L. n° 2000-614, 5 juill. 2000, art. 9, IV, mod. par ord., art. 25 Remarque Ă  compter du 1er janvier 2020, le TGI et le tribunal d’instance fusionneront pour devenir le tribunal judiciaire C. org. jud., art. L. 121-1, mod. par L. Justice n° 2019-222, 23 mars 2019, art. 95, I, 1° ; L., art. 109, XXIII. Code de procĂ©dure civileChronoLĂ©gi Article 15 - Code de procĂ©dure civile »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 janvier 1976 Naviguer dans le sommaire Article 15Version en vigueur depuis le 01 janvier 1976 Les parties doivent se faire connaĂźtre mutuellement en temps utile les moyens de fait sur lesquels elles fondent leurs prĂ©tentions, les Ă©lĂ©ments de preuve qu'elles produisent et les moyens de droit qu'elles invoquent, afin que chacune soit Ă  mĂȘme d'organiser sa en haut de la page ï»żLe Code de procĂ©dure civile regroupe les lois relatives au droit de procĂ©dure civile français. Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de procĂ©dure civile ci-dessous Article 15 EntrĂ©e en vigueur 1976-01-01 Les parties doivent se faire connaĂźtre mutuellement en temps utile les moyens de fait sur lesquels elles fondent leurs prĂ©tentions, les Ă©lĂ©ments de preuve qu'elles produisent et les moyens de droit qu'elles invoquent, afin que chacune soit Ă  mĂȘme d'organiser sa dĂ©fense. Code de procĂ©dure civile Index clair et pratique DerniĂšre vĂ©rification de mise Ă  jour le 18/08/2022 TĂ©lĂ©charger Recherche d'un article dans Code de procĂ©dure civile

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